Points D'interrogations

Pourquoi je signe par SP, afin de garder pour le moment mon anonymat,  si par chance ce premier roman était édité avec l’espoir d’une réussite, de profiter du flashe de mes lignes dans l’ombre en observateur peut être d’un succès mais sans ces méfaits, me donner une chance peut être de vivre de ces phrases sans pression et plateaux, libre loin des micros,  et surtout ne plus avoir à m’inquiéter d’un demain ne plus attendre la fin d’un mois, avoir enfin une liberté et en profiter. Et pourquoi pas, essayer à l’ombre de ces deux lettres écrire un autre roman, une nouvelle histoire, m’exprimer, apprendre une nouvelle danse à mes doigts. Et si second livres, cette nouvelle aventure personnelle avait les honneurs d’une publication, d’être posé entre vos mains, je sortirais de ma grotte peut-être, d’entre notre capitale. J'ai écrit ces pages et ai pris du plaisir à apprendre cette danse, ce rythme et si elles ne méritent aucune attention quoi qu’il en soit j’aurais essayé, et je n’aurais été qu’une plume, un clavier cassé sur une étoile filante. Merci à vous. 

Ce texte est une impression personnel d’incapacité de plus en plus flagrante à un vivre ensemble, de cette modernité qui nous transforme de plus en plus en des êtres inhumains alors que toute cette technologie est sensé nous rapprochaient, nous offrir la possibilité d’apprendre des autres. Mais où est passée notre empathie quand le programme d’un show tv traitant des malheurs des autres devient une source de distraction, je sais l’avoir déjà abordé dans le livre mais cela me parait tellement fou, comment pouvons-nous y arriver si il n’y a plus qu’un, je. Ne nous serait-il pas plus utile de tenter un avenir ensemble, nous sommes tous différents n’est-ce pas ce qui peut faire notre force, il y aura toujours des problèmes et des inégalités, mais peut il y avoir aussi un début vers un autre chose, un nouveau phare, une route vers du meilleur ou au moins du mieux, est-ce possible et si oui pourquoi ne pas essayer, mais tout cela doit commencer par nous, il y a eu un pas petit pas pour l’homme, un pas de géant pour l’humanité, ne serait-il pas temps de tendre une main aux habitants de la terre pour mettre une claque aux inégalités. Je voudrais juste pour finir vous adresser cette petite prière personnelle. Soyez heureux et essayer de rendre les gens que vous aimez heureux, pour ceux que vous n’aimez pas essayais de les ignorer car pourquoi ce gâcher la vie pour des bêtises et ce rajoutais des problèmes pour de futiles altercations, n’en avons-nous pas assez comme cela, et malheureusement la personne à qui vous vous en prenait en a peut-être plus de soucis que vous, moins de solutions, pourquoi risquer d’enfoncer un peu plus une personne qui n’a presque plus pied. La vie est belle, paix, amour et essayons de nous sauver tous ensemble, car qui connait demain. Et si cela est trop cul cul, utopique, la pointe de mon stylo ne fait aucun mal, c’est juste de l’encre et vous m’avez suivis jusqu’ici donc ça ne coûtait rien quelques lignes de plus. 

Extrait du livre : 

Comment construire une vie si simple et pourtant difficile, la cohabitation du vivre ensemble, d’accepter les autres tout en gardant son héritage et ses habitudes ancrées par une éducation, tout en apprenant et acceptant  les différences. Un mixe qui peut être difficile par peur et ignorance, mais aussi enrichissant pour une évolution de soi. Voici les difficultés qui nous sont imposées des nôtres naissances par notre éducation, notre entrée dans la vie scolaire, notre vie sociale, mais qui est notre base au long de notre existence. Devons-nous rester ancré à ces soi-disant valeurs ou essayer une évolution personnelle. Le début doit-il être le miroir d’une suite ? L’enfance devrait-elle être le point de repère de notre évolution personnel et nous muré dans une existence privée de découvertes afin de respecter un héritage familiale, ou devons-nous à l’atteinte de notre majorité courir et créer notre propre histoire, déchirer le calque, apprendre pour savoir, connaître pour dire et se servir de ces bases comme témoin sans chaînes ou obligation. Heureusement, une réflexion autonome existe sinon à quoi ressemblerait mon quotidien, à copier et inculquer à mon futur une base faite de bas et de bassesse. Quant au début de votre existence, l’amour, la confiance  n’est pas au rendez-vous de vos premiers pas, sommes-nous contraints de reproduire les actions des propriétaires de nos premières heures?