La Maison des vies invisibles

Né avec le goût des histoires et de l’observation du monde, c’est depuis la retraite que l'auteur savoure sa passion de l’écriture, dont l’édition a été encouragée par son entourage. Il explore dans ses écrits les zones silencieuses de l’existence : les émotions discrètes, les vies en marge, les gestes qui révèlent plus qu’ils ne montrent. Entre sensibilité littéraire et regard attentif sur l’humain, son travail cherche à donner une voix à celles et ceux qu’on n’entend pas toujours.

Dans un hameau oublié, une vieille demeure renferme des traces de vies effacées. Chargée de sa rénovation, Élise, restauratrice de patrimoine, croit fuir ses propres fantômes, mais à chaque pièce restaurée, des fragments d’histoires invisibles ressurgissent : lettres dissimulées, objets oubliés, silences trop lourds. Les murs de la maison murmurent, réveillant des mémoires que certains auraient préféré garder enfouies. Entre secrets révélés et blessures tues, Élise découvre qu’il ne s’agit pas seulement de redonner vie à un bâtiment, mais d’accueillir les voix de ceux qui y ont vécu et disparu. Un roman envoûtant où mémoire et oubli s’entrelacent, et où une maison devient le témoin des existences qu’elle abrite encore.

C’est un roman choral où se croisent des destins en quête de sens, réunis dans une demeure mystérieuse et apaisante. Chaque chapitre donne voix à un personnage résident ou gardien de la maison dont la rencontre transforme peu à peu Morvan, le protagoniste principal venu chercher des réponses à une absence enfouie.

Bienvenue dans l’univers de La Maison des Vies Invisibles, un roman qui donne enfin une voix à celles et ceux que l’on ne voit jamais.

Extrait  

À la Maison des vies invisibles, il y a ceux qu’on voit, et ceux qu’on ressent. Anna et Émilie sont de celles dont on sent la force, même quand elles s’effacent. Elles sont les gardiennes du lieu, pas par autorité, mais par amour du service. Elles ne cherchent pas à briller. Elles veillent. Elles nourrissent. Elles tiennent. Et tant qu’elles seront là, la maison tiendra aussi.