Par Claire EBERSOLD
Montant récolté :
611,00 €
Objectif : 990,00 €
14 contributeurs
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J’écris sur ce qu’on traîne sans le savoir.
Sur les héritages invisibles, les blessures qu’on porte sans les avoir choisies, les silences qu’on hérite autant que les gestes.
Ce livre, c’est l’histoire d’une fille qui apprend, lentement, douloureusement, à écrire sa propre histoire, là où tout semblait déjà écrit.
Je vous propose d'être acteur et actrice de la naissance de mon livre en m'aidant à faire de sa parution prochaine, avec les Editions Maïa, un succès. Plus les préventes seront nombreuses, plus mon livre sera promu et diffusé. En retour, vous serez présents dans le livre en page de remerciements et vous recevrez le livre en avant-première, frais de port inclus !
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Je m’appelle Claire, j’ai 26 ans.
J’écris comme je vis : sans mode d’emploi, un peu à l’instinct, beaucoup avec le cœur.
Quand tout va mal, souris plus fort est mon premier roman. Un livre brut, intime, né de ce que je n’ai jamais su dire autrement.
Présentation du projet
Quand tout va mal, souris plus fort est un roman intime, brut, inspiré d’une histoire vraie — mais transfiguré par l’écriture.
Ce n’est pas une autobiographie ni une fiction détachée du réel.
C’est un récit hybride, où chaque page porte une vérité émotionnelle.
Une fiction personnelle, née d’un trop-plein de silences, de blessures anciennes, de besoin d’exister autrement.
Le roman explore les failles familiales, la transmission invisible, la quête d’amour, le vertige de l’abandon.
Mais aussi la lumière qui revient.
Il parle de celles et ceux qu’on n’a pas écoutés. De ce qu’on porte malgré soi. De ce moment fragile où l’on choisit, enfin, d’écrire sa propre histoire.
Sa forme est singulière : entre spoken word, confidences, poésie brute et narration fluide.
C’est une voix qui vacille, qui dit vrai, qui cherche sa place.
Soutenir Quand tout va mal, souris plus fort, c’est croire que la littérature peut donner un sens aux douleurs qu’on ne sait pas nommer.
C’est croire qu’écrire, parfois, peut guérir un peu.
Et surtout : que l’on peut, après la chute, sourire encore. Et plus fort.
Extrait du livre Quand tout va mal, souris plus fort
Une mère ne quitte jamais ses enfants.
C’était une certitude ancrée en moi, ancienne, presque sacrée.
Une mère, c’est un pilier. Une constante. Une ligne de force dans un monde instable. Elle tient, soutient, veille. Même quand elle chancelle, elle reste debout. Lorsqu’elle se tait, elle reste présente.
Elle aime d’un amour rugueux parfois, imparfait, mais tenace. Elle est la gardienne du foyer, celle qui recolle les morceaux, qui panse sans qu’on le demande. Elle n’abandonne pas. Elle se sacrifie s’il le faut, sans s’en vanter.
Mais un père ?
Un père peut partir.
Pas toujours. Pas tous.
L’idée même qu’il puisse le faire m’avait toujours accompagnée, comme une crainte discrète que l’on apprend à apprivoiser sans jamais s’en défaire complètement.
Un père peut aimer. Aimer fort. Jouer, rire, transmettre, s’émouvoir.
Mais il peut aussi s’éloigner.
Se taire. Se replier. Tourner le dos sans fracas.
J’avais cette peur-là : que l’amour de mon père ne soit pas assez solide. Pas assez enraciné.
Qu’il puisse s’effriter dans la fatigue, dans le doute. Que les responsabilités, les conflits et les divergences conjugales puissent exercer une pression suffisante pour provoquer le désir de partir.
Je savais que l’histoire était pleine de pères absents.
De ceux qui refont leur vie ailleurs, avec d’autres enfants, d’autres week-ends.
J’appréhendais que mon père, un jour, ne sache plus revenir.
Extrait non disponible.
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